Publié aux Impromptus Littéraires sur le thème: La pluie nous souriait
Tu
m'avais entraîné aux hirsutes taillis
où
d'odieuses épines accrochaient ton corsage
tu
me pensais hardi je te croyais plus sage
alors
que l'on tombait dans ce joyeux fouillis
Aux
lointaines clameurs de quelque cerf en rut
a
répondu ton rire aux éclats cristallins
je
découvrais béat tes globes opalins
ton
ventre velouté et l'ombre de ta butte
Sur
la mousse des bois où tu me chevillais
j'ai
subi tes assauts perdus de haute lutte
une
espiègle alouette entamait sa turlute
au
plus fort de nos jeux l'orage a retenti
mais
tu n'as rien perdu de ton bel appétit
au
ciel de notre lit la pluie nous souriait
superbe !
RépondreSupprimerMERCI !
SupprimerQu’il est beau ce poème
RépondreSupprimerParsemé de non-dits
Il offre à ceux qui aiment
Un bout de paradis
;O))
Merci pour ce poétique compliment !
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