Au
début je pensais n'avoir qu'à me défendre
mais
elle m'ordonna que je l'attaque aussi.
J'allais
devoir combattre sa clitocratie,
condamné
au défi et forcé d'entreprendre.
Elle
fut sans pitié, à armes inégales
m'enfourcha
hardiment, sans plus de préambule.
J'osai
parlementer, piteux conciliabule
quand
soudain je fus pris d'un malaise vagal.
J'allais
médiocrement mourir en timoré
d'une
petite mort sans l'avoir honorée,
négligeant
mon état elle caracolait.
D'un
bout de drap froissé, à mon corps défendant
j'ai
dans un soubresaut hissé le drapeau blanc,
la
retraite sonnait, rangé mon pistolet...
Faites l'amour, pas la guerre. Tu ne fais donc ni l'un ni l'autre?
RépondreSupprimerC'est un peu la même chose, et le moment que je préfère c'est quand on fait la paix :)
RépondreSupprimerFait amer, quand on s'gourre :D
RépondreSupprimerImpayable grivois, j'♥ ce que tu nous(r)envoies !!